C'est la corde au cou que je vous fais coucou
mais ce n'est pas de votre fenêtre qu'au mieux la situation se reflète.
Derrière les géraniums il n'est pas évident de voir
que sur un tabouret je me tiens debout
et que seuls mes talons lient une vie à l'assise de cet agglomérat d'acajou.
Nous ne nous estimions que par un échange de saluts quotidiens
mais avant de partir je vous offre mon dernier sourire,
chers voisins.